N’empêche, qu’est-ce qu’on a pu rigoler en dix ans.

[Et demain, le retour des photos].

Dix ans de notes QLB¹.

	Le jour où mon collègue de bureau m’a offert mon poids en bonbons (2 novembre 2004).
	Le jour où je suis allé travailler sans lunettes (8 juillet 2005).
	Le jour où j’ai essayé d’imposer le mot « malle » comme traduction française d’« e-mail » (24 juin 2005).
	Le jour où je me suis lancé dans l’art moderne (22, 23 et 24 novembre 2005).
	Le jour où j’ai résolu les problèmes de mathématiques posés par Manu Chao (11 octobre 2006).
	Le jour où j’ai voulu déménager à Chicago (9 janvier 2007).
	Le jour où j’ai décortiqué l’historique de la page Wikipédia de Tokio Hotel (30 janvier 2008).
	Le jour où Lala et moi avons trouvé un médiator d’Iron Maiden sur un trottoir de l’avenue de La Motte-Piquet (4 juillet 2008).
	Le jour où j’ai décalé des mp3 de Radiohead et de Damien Rice de 17 secondes [et ajouté un kilt au Kills] (29 octobre 2008).
	Le jour où j’ai fait un concours de noms de groupes baptisés d’après des villes avec 200 g de Beaufort à gagner (3 décembre 2009).
	Le jour avec le guide du bon goût du porteur de ticheurte de concert (23 juillet 2010).
	Le jour avec le Gille de Binche de la Tourette (9 juin 2011).
	Le jour où j’ai enfin trouvé le POIL qui se cache dans le carrelage de la station Concorde (30 novembre 2011).

Dix ans² de notes dessinées

Parce que oui, figurez-vous qu’au début, il y eut des notes dessinées.

	L’art du portrait (14 juillet 2004) : une étude graphique sur le personnage de Bugs Bunny.
	Sans titre (21 juillet 2004) : Jeu de mot du siècle no 63.
	4 lettres. (Pas mieux) (16 juillet 2004) : Un… Et puis zut. Cliquez, vous verrez bien.
	À la découverte du Michigan lointain (23 juillet 2004) : un guide bien pratique pour comprendre la curieuse manie qu’ont les Michiganais de se toucher compulsivement la main quand ils se présentent à un inconnu.
	Au boulot (29 juillet 2004) : Auto-portrait à l’œil torve.
	Les aventures désopilantes de Au Boulot #2 (24 août 2004) : une monographie savante et illustrée analysant en profondeur les urinoirs étasuniens et les comparants impartialement avec leurs cousins français.
	La case de l’oncle Robert (27 août 2004) : une étude exhaustive et claire expliquant une bonne fois pour toute comment diable les Étasuniens s’y prennent-il pour numéroter leurs logis, en raillant au passage le système de mesure impérial, vestige saugrenu d’un passé décadent et toujours en usage chez certaines peuplades obscures de la planète.
	Happy end (14 septembre 2004) : Le jour où ma valise est enfin revenue d’Amsterdam.
	Papille fait de la résistance (12 octobre 2004) : Avec un couquie-zombie.
	Brève de pause-clope (19 octobre 2004) : Pingouin dans l’champ, hiver méchant.
	Interlude (16 septembre 2005) : Avec une fraise.

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