2016 en… #1.

2016 en 5 horreurs musicales de l’enfer maléfique

Avertissement : Les artistes et œuvres communiqués ci-dessous le sont à titre PRÉVENTIF, afin de mettre en garde le grand public – et surtout les plus jeunes – contre les dangers de la civilisation moderne ; c’est pourquoi cette liste est présentée dépourvue de tout lien permettant d’écouter son contenu. L’auteur ne saurait être tenu responsable de tout traumatisme auditif, physique ou psychologique provoqué directement ou indirectement par l’écoute accidentelle, volontaire ou forcée de tout ou partie de ces œuvres, consécutive à une recherche menée sciemment ou non, par le lecteur ou un tiers, sur le Internet vidéo-musical mondial ou ailleurs.

L’année fut une fois de plus difficile, même si j’ai eu la chance de pouvoir louvoyer à travers ces douze mois en évitant les grands écueils que furent Kanyé Ouest, Péhennelle et Christophe Maé et de ne pas faire de choc anaphylactique quand on me faisait écouter la Femme [ce qui ne fut pas le cas d’une bonne part de mon entourage direct]. Félicitations à Animal Collective pour m’avoir donné de nouvelles raisons de les détester, mais aussi aux Strokes pour avoir bien confirmé qu’ils ne valent plus un clou et à tous les autres pour la belle musique nulle qu’ils nous ont fait subir 366 jours durant.

Comme chaque année, je leur souhaite à tous pleins de Victoires de la musique et d’NRJ Music MC. Qu’ils aillent les chercher loin [mais alors, très loin].

        1. Animal Collective – Floridada
        2. MHD – Afro trap, part. 6 (molo molo)
        3. Justin Timberlake – Can’t Stop the Feeling
        4. Drake – One Chance
        5. Kaytranada – Lite Spots

Également cités : The Strokes – Treat of Joy, Oxmo Puccino – Slow Life et Punch Brothers – Sleek White Baby.

Archives 2015, 2014, 2013, 2012, 2011, 2010, 2009, 2008, 2007 et 2006.

[Je n’ai pas pu faire de photo des pochettes cette année, ce qui explique ce photoshopage déplorablement exécuté en trois minutes sur un bout de table de réveillon en partant d’une illustration empruntée ici. Mes excuses à eux et vous.]