Des Corails (des Coraux ?) puis des TGV. Des courses pour arriver à temps, des départs et des arrivées, et régulièrement revenir arpenter les quais quand je passe dans le quartier ; le jour, pour regarder les autres partir et chercher cet instant qui sépare le dernier voyageur qui marche tranquillement vers son train du premier qui arrive en courant pour ne pas le rater ; la nuit, parce que les lieux publics vides m’attirent toujours comme des lampadaires un moustique.
Hâlé de lavande.
Blois – Paris, 17 juillet 2005.
Corps de red.
Gare des Aubrais – Orléans, 22 septembre 2005.
Trains, trains haut qu’ont go.
Gare de l’Est, Paris, 15 avril 2006.
D’être un.
Gare de Charleville-Mézières, 14 juillet 2006.
Ces rails et la voie.
Gare Saint-Lazare, Paris, 25 novembre 2006.
Au train, on emporte le vin.
Gare de Lyon, Paris, 4 octobre 2008.
Sang gris et gare.
Away, away, away you go.
, Paris, 12 août 2011
Volage aube boude l’ennui.
Lunéa 4050, 18 septembre 2011.
Un bon en tendeur.
Gare de l’Est, Paris, 30 avril 2012.
You took my hand, through the cold, pissing rain.
Gare de l’Est, Paris, 30 avril 2012.
Train te scie champ d’elle.
Into the wide #3.
Gare du Nord, Paris, 20 janvier 2013.
Noir du gore [II].
Gare du Nord, Paris, 25 mai 2013.
Toward.
Gare CFL, Luxembourg, 19 novembre 2013.
Également cités :
- It’s a long road there’s no turning back (gare de l’Est, Paris, 25 février 2007)
- Never, say never (gare de Lyon, Paris, 10 avril 2007)
- Trains, voiles à debout daims (gare du Nord, Paris, 1er janvier 2008)
