Maxïmo Park + I Heart Hiroshima @ le Trabendo, Paris.

 White LiesTo Lose My Life

Il faut toujours courir chouter Maxïmo Park, parce qu’on est presque sûr de ressortir de la fosse avec des trucs dans le genre de la photo ci-dessus ou de ces fameuses archives, ici et . Peu importe la salle. Ça marche à tous les coups, avec Paul Smith c’est du gâteau ― pour peu qu’on ait bien entraîné préalablement ses réflexes à Wii Tennis ―, ce mec est génial.

En revanche pour ce qui est des prestations scéniques, comme on dit pour faire intelligent, mieux vaut les voir dans leur biotope naturel : le Royaume-Uni. C’est cool, le Royaume-Uni. Comme indiqué ici, on y trouve plein de gens hystériques, la bière pleut du plafond ― d’aucun parlerait de miracle ― et les soirées sont dingues d’un bout à l’autre. En France, ça marche tout de suite moins bien : c’est le même groupe, le même numéro, mais d’une part les salles sont moins peuplées pour les voir et d’autre part le public est moins dingue. Enfin moins bourré. Bonne soirée, bonne brochette de titres à la ramasse, mais trop de lenteurs qui fatiguent. J’adore ce qu’ils font bien, je baille devant ce qu’ils font mal. On ne peut pas tout avoir, hein.

I Heart Hiroshima

 

Maxïmo Park

 

Ah et au fait, en guise de souvenir je vous ai laissé la setlist anotée avec les petites phrases en français à dire entre chaque morceau. Héhéhé.