Rue des Cascades, Paris, 17 novembre.
Y a un truc qui m’énerve, c’est quand je réalise un beau matin qu’après Louis XIV, les Kills reviennent aussi et que quand je cherche à dater l’info, j’apprends que j’arrive 2 semaines après la bataille et qu’il y a déjà une vidéo pour nous assurer que VV mérite toujours autant de poutoux, du coup j’ai l’air d’un con.
Enfin je m’en fous, les White Stripes menacent d’arrêter de tourner ― ça, ils l’ont dit hier et je le sais déjà, ça me rattrape ― et puisque je les ai vus sur scène, je serai bientôt un dinosaure aussi envié que les gens qui ont assisté à un concert de Nirvana ou du vrai Led Zeppelin, ainsi le soir où ils se reformeront et que le NME s’excitera comme hier, on viendra m’interviouver en tant que sage qui a tout vu tout entendu et je pourrais leur resservir mon discours de la méthode reformatrice comme un vieil aigri à qui on ne la fait plus, tout ça c’est juste pour rembourser l’hypothèque de l’appartement à la montagne, c’est un monde ça madame.
Waw, vivement 2032.
PS : on a passé les 100 000 visites sur ce belögue hier, merci aux 87 653 groupies de Tokio Hotel tombées là par hasard pour leur aide.
The Kills – U.R.A. Fever (en banalité mondiale)
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1 Personne ne calera le jeu de mots à part les 0,22% de fans de Pearl Jam qui traînent ici, mais on s’en fout.
