The Dirtbombs @ La Maroquinerie, Paris.

Dans la même soirée, on peut :

  • Se sentir de retour à Ann Arbor, dans un Blind Pig enfumé se secouant aux doubles rythmes des batteries de Ben Blackwell [le neveu] et de Pat Pantano [le photographe], pendant que Ko Shi, en transe, ne quitte pas le plafond des yeux et que Mick Collins orchestre le tout de sa voix de crooner.
  • Se voir offrir un badge des Stripes tout noir et tout joli et sautiller comme un con sur un trottoir du XIe en guise de remerciements.
  • Se taper à Ménilmontant un Sancerre-foie gras qui fait du bien en parlant musique et se dire que, quand même, c’est chouette de traîner avec des gens qui s’y connaissent en vin et en musique, parce que le vin, c’est bien et la musique, aussi.
  • Une fois rentré, s’endormir à 2h du matin sur les photos qu’on a prises.
  • Être réveillé à 3h30 par une usine à punch.
  • Se traîner jusqu’au premier lit venu et s’endormir bercé par le Postal Service.

[Merci(s).]

Et lui, c’est Ben. Un cadeau pour ceux qui n’ont pas de poster au-dessus de leur lit.

 The DirtbombsBy My Side (The Elois cover)