Paléo Festival, Nyon, 22 juillet.

9 h pile pour franchir les 396,97 km à vol d’oiseau qui séparent mon logis de la fosse du Détour. Les parkings fermés, la boue partout, friser l’hypobièrémie par manque de francs suisses [merci à toi qui m’a abreuvé, tu m’as sauvé la vie], mais au final retrouver les topains de colos, la bonne humeur ambiante, la gentillesse générale et le brin de folie constant qu’on s’attendait à trouver. Personne n’en doutait, mais Paléo reste Paléo. Et c’est tant mieux.

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